mouvement citoyen algérien en France
Courriel: artistesalgeriens@yahoo.fr
Monsieur le Procureur de la République
Tribunal de Grande Instance de Paris
4, boulevard du Palais
75001 PARIS
Objet : Plainte contre X.
Monsieur le Procureur,
J’ai l’honneur de solliciter votre haute bienveillance de bien vouloir prendre en compte notre présente requête au même titre que pourrait le faire tous les algériens résidents en Europe et en France.
Les faits et le contexte :
Des bruits et rumeurs alimentent les discutions et relatés par la presse algérienne et internationale sur un présumé blanchiment d’argent en France par Monsieur Amar Amar SAÏDANI et Madame Khalida TOUMI, ce qui crée un climat délétère inacceptable. Des questions légitimes se posent et les soupçons de tous genres pèsent sur l’efficacité de la traque du blanchiment par le TRACFIN.
Encore des rumeurs, est-ce c’est qu’une plainte est en marche, d’autres affirment que tel et tel sont auditionnés par les enquêteurs français…
Certaines quotidiennes révélations et des informations précises qui font part de biens immobiliers détenus par Monsieur Amar SAÏDANI à Paris 16e et à Neuilly Sur-Seine ainsi que des comptes aux noms des membres de sa famille.
Monsieur le procureur de la République, Nous vous demandons de bien vouloir accepter notre présente requête, d’ouvrir une information judiciaire, de bloquer les avoirs bancaires et sceller les biens immobiliers de ces personnes et de leurs familles.
Il n y a que la justice qui pourra mettre fin à cette situation de suspicion, si les informations révélés s’avère exactes, il ne pourrait s’agir que d’argent détourné au peuple algérien.
Plainte avec constitution de partie civile
de Monsieur Omar AIT MOKHTAR
Pour bloquer les avoirs et
sceller les biens immobiliers
de Monsieur Amar SAÏDANI et
Madame Khalida TOUMI
Monsieur Le Procureur,
Monsieur Amar SAÏDANI et Khalida TOUMI ont exercé par le passé, des hautes responsabilités de l’État algérien ; Monsieur SAÏDANI en tant que président de l’assemblée nationale de la république algérienne et madame Khalida TOUMI comme ministre de la culture à cet effet nous déposons une plainte contre ces personne auprès de la justice algérienne en simultané.
Je vous remercie de bien vouloir me tenir informé de la suite qui sera réservée à ma plainte. J’ai bien noté qu’en l’absence de réponse de votre part dans un délai de 3 mois, je pourrai déposer plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.
Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur de la République, à l’expression de ma considération distinguée.
Le coordinateur du M C A F
Omar AIT MOKHTAR
Paris, le 31/01/2015